"discours de sourd"
audela des murs qui nous entourent
loin de leur discours
tours à tours l'état et système jeouent au surd
audela des fauboures
on s'goure, les jeunes manquent de bravoures
car la bascoure apartient aux votoures
aulela de la justie loin du compte à reboure
je derive mais la rivière suit son cours
je ne sucombe pas dans le coeur il me reste un peu d'amour
ici le gens font tout pourfuir cette torture
cette pauvreté qui perdure
on incorpore les mepris dans toutes les postures
l'entrourage est de plus en plus hostile
les visages deviennent unitelent dans les killes
loin de la ville, des gens et des voisinages tranquilles
dans ma tête la rage part comme des missiles
donc on squate le caves c'est plus fertile
d'autres picravent et tombent dans le dile
les malchanseux finissent à l'asile
plein de soucilles dans le bide, chargé comme une pile
le cotidient entre camizole et pillules
entre faim et larmes nous avons la jenerosité
les bras ouverts à tous les comminautés
car l'identité est une clef pour la liberté
les clochards d'entassent pour brouter la pierre
un cochemare que nous apporte cette misère
je suis et je resterai noir ça j'en suis fière
ils echangent l'humainté contre le profit
s'enparent de nos richesses contre les conflits
face à cette guerre je te le jure je lance un defit
loin de mes racines chu un homme avant tout
un citoyen dont l'identité met la corde au coup
domage que de nos jour ça fasse encore taboue
imagine un monde ou le pardon prend le sessus
les fous corrompus venèrent ce que j'ai conçu
chez nous il n'y a pas de couleur c'est coeur qu'on apprecit
on dit que l'homme change l'homme
le sang qui a construit rhom
grace à l'esclavage la france est devenu autonome
les gens refouent cette periode moi je la cris sur crom
on crame les bouquins l'histoire devient fantome
l'oublit dans nos block touche le somomme
la vie passe ainsi les jours s'en vole aussi
assit sur mon banc apprecit
mes pleures à l'encre noire democratie
imagine un arc en ciel en plein orage
dans mes songes le cote sombre de la page
j'entame une nouvelle avec des sicatrices sur le visage
je vehicule la tristesse dans mes dictions
les interdictions à outrance atisent mes pultions
sionner l'esprit du mal le chetane dans le fion
la tristesse atise nos balafres
même jenoux à terre j'encaisse les bafes